Le constat gèle juridiquement les faits ou la situation et constitue une preuve solide et sérieuse en cas de conflits ultérieurs, que ce soit pour :
- - L’état des lieux général : des environs proches du chantier, les existants, voiries,
- - la réception des travaux avec des réserves,
- - la non-conformité des matières et produits utilisés sur le chantier,
- - l’existence de désordres et/ou malfaçons dans la réalisation des travaux,
- - les retards d’exécution ou de livraison du chantier,
- - la non-conformité des normes résultant des plans et cahier des charges…